Apistogramma agassizii

Nom scientifique Apistogramma agassizii
Descripteur Steindachner
Année description 1875
Statut IUCN NE
Famille Cichlidae
Genre Apistogramma
Apistogramma agassizii Apistogramma agassizii

Introduction

L'Apistogramma agassizii est un poisson tropical originaire d'Amérique du sud.

Ce poisson, parmi les plus populaires du hobby aquariophile, fut l'un des premier cichlidé nain à avoir été maintenu en aquarium. Il a été décrit en 1875 et les premières importations en Europe datent de 1909.

Qui est-il ?

Le genre Apistogramma

En 2019, le genre Apistogramma compte 89 espèces décrites selon Fishbase. Les poissons de ce genre font tous partie du groupe des "cichlidés nains". Pour rappel, les cichlidés constituent l'une des principales familles de poisson d'eau douce. La majorité des Apistogramma mesurent moins de 10 cm, raison de l'attribution de l'adjectif "nain".

Dans la Nature, ils occupent presque toute la région néo-tropicale à l'Est des Andes, avec une forte concentration dans le bassin amazonien. La plupart de ces poissons vivent dans des zones très localisées et isolées, dans les systèmes de drainage des forêts tropicales humides de plaines et des savanes ouvertes des bassins de l'Amazone, de l'Orénoque et du Rio Paraguay. Quelques espèces sont largement répandues comme A. agassiziiA. bitaeniataA. cacatuoides ou A. trifasciata.

Les espèces avec une distribution géographique étroite sont particulièrement menacées par les transformations rapides de l'environnement et pourraient être affectées par la dégradation des forêts ou la mise en place de barrage.

Les Apistogramma vivent généralement dans la litière de feuilles mortes des rives peu profondes des ruisseaux et rivières. Ils se rencontrent dans tous les types d'eaux (eaux claires, noires et blanches). Ce sont des petits poissons territoriaux qui prennent soin de leur progéniture. La sociabilité varie en fonction des espèces.

Dans ces environnements caractéristiques, ils côtoient différentes espèces de tétras, de poissons-crayons, de Corydoras et de loricaridés. C'est également le lieu de vie d'autres espèces de cichlidés.

À ce jour, il est certain que des espèces sont encore non décrites. Des études sont en cours pour affiner les informations au niveau du genre. On compte trois groupes principaux : les lignées steindachneri, agassizii et regani. Malgré la forte similitude entre certaines espèces, les risques d'hybridation sont faibles. Les femelles sauvages sont particulièrement difficiles et une étude a montré qu'elles étaient capables de reconnaître des mâles d'une même localité, qu'elles choisiront pour le frai.

Ce genre est considéré comme le clade sœur des Taeniacara.

Morphologie

  • Type
  • Taille moyenne
    5 cm
  • Taille maximale
    9 cm
  • Longévité
    6 ans
  • Forme
    Ovale
  • Type
  • Taille moyenne
    5 cm
  • Taille maximale
    9 cm
  • Longévité
    6 ans
  • Forme
    Ovale

Comment reconnaître Apistogramma agassizii ?

L'Apistogramma agassizii est généralement de couleur jaune orangée avec un corps irisé de bleu. La forme générale du corps est fusiforme avec une bande latérale noire épaisse et nette.

Sa large zone de distribution en fait un poisson polymorphe même dans ses phénotypes sauvages.

Il existe différente variétés de couleurs "créées" par sélection telle que Fire Red, Blue Pearl, Golden, Double Red, Rouge etc.

Différences entre mâles et femelles

Le dimorphisme entre les mâles et les femelles est bien marqué chez cet Apistogramma avec une femelle plus petite que le mâle. Les mâles sont généralement plus colorés. Cependant, chez certaines variétés issus de l'élevage, les femelles arborent des couleurs flamboyantes. 

Naturellement, la femelles est de couleur brune à ocre, parfois jaune citron, avec des marquages noirs en période de reproduction. Les nageoires pelviennes présentent des liserés noirs.

Les nageoires du mâle sont plus grandes et plus pointues que chez les femelles, notamment les nageoires impaires. Les pelviennes se terminenten filaments. Chez le mâle, la queue est arrondie ou en pointe selon l'âge et la sélection du poisson, la femelle a toujours une queue ronde.

Des mâles dominés peuvent afficher des couleurs ternes, proches des teintes des femelles.

Mode de vie & Comportement

  • régime
    omnivore à tendance carnivore
  • Sociabilité
    vivant en couple ou en groupe
  • territorialité
    Oui
  • Rythme biologique
    Diurne

L'Apistogramma agassizii est un poisson vivant en couple ou en groupe qui réside naturellement à proximité du fond. Les membres de chaque groupe s'organisent autour d'une hiérarchie bien établie. C'est une espèce au tempérament plutôt calme.

L'Apistogramma agassizii est un poisson qui peut devenir agressif à certaines occasions. Il n'apprécie guère la présence d'autres espèces "caractérielles" sur son territoire. Il est également virulent à l'encontre de ses congénères. Des parades voire des petites joutes peuvent survenir entre les différents membres du groupe jusqu'à ce qu'une hiérarchie soit établie.

Le mâle dominant sera le reproducteur, et présentera les couleurs les plus chatoyantes, tandis que les autres resteront plus ternes. Il règnera sur son harem de femelles. Les autres mâles partiront soit se chercher un autre territoire, soit adopteront une position de soumission et se cacheront.

Il est généralement paisible avec les poissons non territoriaux. Il devient plus combatif en période de reproduction. Dans ce contexte, il protègera rigoureusement sa ponte et ses alevins contre tout intrus s'approchant de son territoire.

Reproduction

  • Mode de reproduction
    ovipare qui pond sur substrat caché
  • Polygamie
    Oui

L'Apistogramma agassizii pond sur substrat caché.

Après une période de court où le mâle paradera devant la femelle, cette dernière l'emmènera vers le lieu de ponte de son choix qu'elle aura préalablement aménager (caverne, recoin, sous une feuille, etc.). Elle déposera des œufs sur les parois et le mâle viendra par la suite les féconder. La femelle défend agressivement sa cachette tandis que le mâle défend un territoire plus large.

La femelle garde et prend soin des œufs en les ventilant et en enlevant les œufs non fertilisés ou abîmés. Les pontes sont généralement abondante chez cette espèce.

Les œufs éclosent au bout de quelques jours, donnant naissance à des jeunes alevins ayant encore un sac vitellin, à ce stade ils ne nagent pas encore. Au bout d'environ une semaine, le sac vitellin se résorbe et commencent alors la période de la nage libre.

Pendant cette période la femelle va "promener" ses alevins pour leur permettre de trouver de la nourriture (du type infusoirs ou autre microfaune présents dans le bio-filme). La femelle "montre" à ses jeunes quoi manger, ce qu'elle mange, ils mangent. Le soir elle les reconduit à l'abris pour les ressortir le lendemain. La garde des alevins peut durer plusieurs semaines, période pendant laquelle la femelle ne sera pas réceptive aux avances du mâle.

Espèce inoffensive

Cette espèce ne présente pas de danger particulier pour l'Homme en cas de rencontre dans son milieu naturel.

D'où vient-il ?

Présence géographique & État des populations

l'Apistogramma agassizii fréquente les eaux du bassin amazonien. On le rencontre au Pérou, en Colombie et au Brésil, dans la plupart des nombreux affluents de l'Amazone, y compris le Solimões et le Capim.

 l'Apistogramma agassizii est rarement observé dans les grands fleuves qu'il ne peut traverser. Il réside habituellement dans les petits cours d'eau où il affectionne particulièrement les zones calmes.

Quel est son habitat ?

Caractéristiques du milieu naturel

  • Température
    24 - 27 °C
  • pH (acidité)
    5.6 - 7
  • gh (dureté)
    6 - 10

Présentation du biotope

L'Apistogramma agassizii réside naturellement dans une eau légèrement acide. L'espèce évolue à faible profondeur dans les zones à forte présence de végétaux (plantes aquatiques et palustres, matières organiques en décomposition, branches...).

Le sol est généralement constitué de sable fin et d'humus.

On le retrouve dans les trois types d'eau claire, blanches et noires et donc dans différents biotopes. En général, il vit dans des cours d'eau avec peu de courant ou des zones inondées (selon la période) ou encore dans des petits lacs et points d'eau.

Maintenance en aquarium

Déontologie

Afin de préserver la vie sauvage, si vous faîtes l'acquisition de cet animal, il ne doit pas être relâché en milieu naturel. Voir aussi, la charte Fishipedia.

Fishipédia soutient la pratique d'une aquariophilie responsable et respectueuse de l'environnement. Nous encourageons la maintenance si celle-ci est motivée par le désir de comprendre le fonctionnement biologique du vivant et si elle est réalisée dans le respect de la vie animale.

Nous pensons que l'aquariophilie est une ouverture à la découverte des milieux aquatiques, en particulier d'eau douce, et que cette connaissance est nécessaire pour mieux protéger et respecter ces environnements. Logiquement, nous réfutons l'achat compulsif d'animaux qui ne trouveraient pas une place suffisante et / ou adaptée dans l'aquarium hôte.

Recommandations générales

  • Volume min
    120 litres
  • Population min
    2
  • Température
    24 - 27 °C
  • pH (acidité)
    6.8 - 7.2

Caractéristiques

  • Difficulté d'élevage
    facile
  • Robustesse
    tolérant
  • Comportement
    peu agressif
  • Disponibilité
    courant

Matériel recommandé chez nos partenaires

Rappels généraux

Il est fortement conseillé de lire la fiche complète dédiée et de se renseigner sur les retours d'expériences de maintenance de l'animal envisagé, ceci afin d'éviter tout conflit potentiel dont la finalité est généralement la mort de l'individu (ou des autres habitants). Il est important de ne pas surcharger son aquarium pour limiter la pollution. La maintenance en sera facilitée.

En eau douce, à l'état sauvage, les animaux sont soumis aux conditions météorologiques et vivent dans des eaux dont les caractéristiques sont souvent variables. Les conseils donnés par notre équipe pour la maintenance en aquarium sont des estimations et ne peuvent être assimilés à des données scientifiques. Les spécimens sauvages sont plus difficiles à élever que ceux issus de l'élevage. Certains traits de caractère peuvent également avoir évolué.

Conseils de maintenance et entretien de l'aquarium

Le démarrage d'un aquarium est une partie primordiale pour l'équilibre et le bien-être des poissons. Lorsque l'on met en eau un aquarium, l'eau passe naturellement par un cycle biologique : le cycle de l'azote. Celui-ci dure environ trois semaines. Tous les 2 jours, nous vous conseillons de tester votre eau jusqu'à ce que le taux de nitrite soit à zéro pendant plusieurs jours d'affilée.

Pour accélérer ce cycle, vous pouvez utiliser un activateur de bactéries comme JBL Denitrol. Cette solution riche en bactéries vivantes et enzymes permet une mise en place rapide du cycle de l'azote. Les poissons peuvent alors être introduits plus rapidement.

Il est important de tester l'eau de son aquarium régulièrement pour maintenir un environnement sain pour les poissons et les autres habitants. Les tests d'eau permettent de mesurer les niveaux de différents paramètres tels que le pH, la dureté totale, ainsi que les taux de nitrates, de nitrites et d'ammoniaque.

Pour réaliser ces tests, vous pouvez utiliser des produits d'analyse spécialisés tels que JBL ProScan qui permet de réaliser un diagnostic de l'eau directement via un smartphone. Il existe également des coffrets de tests plus classiques de bandelettes, comme JBL PROAQUATEST.

En cas d’usage de l’eau du robinet, vous pouvez utiliser un conditionneur d’eau de type Biotopol de JBL pour éliminer les substances nocives comme le chlore, le cuivre, le plomb et le zinc. Les conditionneurs d'eau garantissent une meilleure santé aux poissons et une meilleure croissance des plantes.

Le chlore et la chloramine sont dangereux pour la santé des animaux. Utilisés pour désinfecter l'eau, ces agents sont présents en quantité non négligeable dans l'eau du robinet. Nous conseillons d'utiliser un anti-chlore lors de chaque changement d'eau. Outre le chlore, des traitements et médicaments vendus pour l'aquariophilie contiennent parfois des métaux lourds dangereux à forte dose.

Informations spécifiques pour Apistogramma agassizii

Apistogramma agassizii est une espèce qui vit naturellement à une température comprise entre 24 °C et 27 °C. Pour une bonne maintenance, la température ne devrait jamais dépasser les 30°C sur de longues périodes. La teneur en nitrates devrait rester inférieure à 50mg/L. Pour garder une eau propre et non polluée, prévoyez un renouvellement mensuel de 20% à 30% du volume d'eau.

L'élevage de cette espèce est accessible à tout amateur. Il est recommandé de suivre quelques règles de bases et d'être rigoureux pour réaliser une bonne maintenance.

Cette espèce est particulièrement répandue dans le commerce aquariophile. Les animaux issus d'élevage de longue date sont généralement acclimatés à une température avoisinant les 26 °C dans une eau neutre.

Cohabitation & Environnement

Dans un contexte d'aquarium communautaire, il convient de le maintenir dans un volume minimum de 120 litres.

L'Apistogramma agassizii est un poisson de caractère qui quitte rarement son territoire. Il n'est pas très agressif envers ces voisins, même territoriaux. Cependant, il ne faut pas négliger son besoin d'un espace conséquent et bien agencé pour lui permettre de marquer son territoire. Il ne doit pas cohabiter avec des poissons territoriaux de grande taille ou trop agressifs afin d'éviter qu'il ne soit dominé voire blessé.

Il peut vivre correctement avec des espèces territoriales paisibles de plus grande taille ou avec des voisins au comportement similaire, à condition que le volume d'aquarium le permette. La surface au sol est un élément clé pour s'assurer la réussite de son élevage. Il est important d'éviter de faire cohabiter deux espèces territoriales occupant la même zone de vie dans un aquarium trop petit. En période de reproduction, il n'hésitera pas à défendre avec virulence son territoire, comportement qui peut fragiliser des poissons d'ordinaire timides.

Ce poisson étant polygame, le mâle doit toujours être maintenu avec plusieurs femelles. Un ratio de trois femelles pour un mâle semble être un bon compromis pour la constitution du groupe. Les Apistogramma vivent naturellement en groupes composés de plusieurs femelles et de quelques mâles, avec des territoires distincts et étalés sur des surfaces assez grandes dans des litières de feuilles mortes ou dans des zones plantées qui leur procurent des cachettes. Les femelles n'ont pas à être en compétition pour un mâle car elles en ont plusieurs "à disposition".

Les mâles ont la particularité d'être particulièrement oppressants avec les femelles. Ce comportement peut fatiguer les femelles à un point qu'il entraine parfois leur mort. Il est important de mettre en place un aquarium planté muni de nombreux refuges.

L'espèce apprécie un environnement particulièrement riche en végétation. L'ajout de plantes lui offrira de nombreuses cachettes qui atténueront son éventuel stress. Pour coller au mieux avec son biotope, vous pouvez recouvrir le fond du bac de sable et déposer un amas de pierres de manière à former des grottes. Les Apistogramma peuvent parfaitement être associés à des Nannostomus, différents tétras et des Corydoras (Corydoras aeneus...). Dans un aquarium de grande taille, il peuvent cohabiter avec des cichlidés nains voire des cichlidés calmes de plus grande taille. les Corydoras qui peuvent parfois être trop insistants lors des pontes et être blessés par le couple. A noter que la plupart des Characidés exerceront une forte prédation sur un éventuel frai.

Un sol sombre permet de mieux faire ressortir les couleurs de l'Apistogramma agassizii.

L'Apistogramma agassizii est sensible aux changements brutaux de paramètres ainsi qu'aux produits chimiques. Son acclimatation en aquarium doit être réalisée avec un soin tout particulier pour éviter qu'il ne développe des maladies ou des faiblesses. Pour le bien-être de cette espèce, il est conseillé de renouveler 20% de l'eau toutes les deux semaines. Attention, l'eau ajoutée doit être à une température voisine de celle de l'aquarium.

 

Conseils pour l'alimentation

Cette espèce n'est pas très difficile et peut être nourrie avec des aliments secs (paillettes, granulés), de la nourriture fraîche et de la nourriture congelée de différents types . Pour éviter les carences, il est recommandé de varier les types de nourriture ; les vers de vase sont toutefois plus difficiles à digérer et peuvent parfois générer des problèmes intestinaux. Il convient de nourrir les jeunes alevins avec des nauplis d'artémias, microvers et assimilés. De la nourriture vivantes et variée favorise la reproduction.

Comme la plupart des Apistogramma, les agassizii pratiquent la microgéophagie, c'est à dire qu'ils attrapent du sable part la bouche et le rejettent par les fentes branchiales pour en extraire des particules organiques dont ils se nourrissent.

Comme pour tous les poissons, il convient de ne pas trop les nourrir pour éviter de polluer l'eau. Pour un poisson adulte, vous pouvez le nourrir une fois par jour.

Recommendations d'alimentation chez notre partenaire JBL - Gamme PRONOVO

Protocole de reproduction

  • Difficulté de maintenance
    accessible
  • Protection de la ponte
    Oui

Il faut ajouter des cachettes pour les femelles, au minimum une cachette par femelle, idéalement plusieurs. La cachette ne doivent pas se faire face directement, sans obstacle visuel entre. Des pots en céramique, demies-noix de coco, cosses, racine, feuilles, sont autant de cachettes de ponte potentielle.

Il convient aussi d'ajouter des feuilles type chêne ou catappa qui fourniront gîte et couvert aux alevins. Il est parfois nécessaire de retirer le mâle lorsque les alevins sont en nage libre pour éviter les échauffourées entre les parents, la femelle pouvant très bien tuer le mâle ou vice-versa. Ce type de décision est à prendre au cas par cas et pas forcément une systématique car il dépend de l'agencement de l'aquarium et du tempérament individuel des poissons.

Les alevins nagent neuf jours après la ponte et trouvent rapidement leur autonomie.

 

Risques d'hybridation

De manière générale, il est conseillé de ne pas mélanger plusieurs espèces d'un même genre ou différentes variétés d'une même espèce pour éviter les risques d'hybridation.

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Modèle de fiche et contenu © Fishipedia - Reproduction non autorisée sans demande préalable - ISSN 2270-7247 - Dernière mise à jour le 11/11/2023

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